Integral Peter Kubelka :
- MOSAIK IM VERTRAUEN
- ADEBAR
- SCHWECHATER
- UNSERE AFRIKAREISE
- PAUSE!
- DICHTUNG UND WAHRHEIT
- ARNULF RAINER
- ANTIPHON
MOSAIK IM VERTRAUEN
MOSAIC IN CONFIDENCE
1954-55 – 35 couleur et N&B – sonore – 16 minutes
Le vagabond Putnik passe ses journées au bord d’une voie ferrée. Il est amoureux de la fille du garde-barrière, mais…
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ADEBAR
1956-57 – 35mm N&B – sonore – 1 minutes 30 secondes
Une loop ethnographique. Une lonographique. Une lographiquol.
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SCHWECHATER
1957-58 – 35mm couleur – sonore – 1 minute
« Mes films donnent le plus grand plaisir à ceux qui les connaissent par cœur. Ils peuvent tous être projetés plusieurs fois par séance. (…) Le cinéma n’est pas un mouvement. Le cinéma est la projection d’images fixes. » P.K.
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UNSERE AFRIKAREISE
OUR TRIP TO AFRICA
1961-66 – 16mm couleur – sonore – 13 minutes
« Selon moi, un documentaire est un poème. Si vous remontez aux premiers événements de l’humanité, vous verrez que la poésie a précédé le pragmatisme, chaque activité de la vie quotidienne était poétique. » P.K.
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PAUSE!
1977 – 16mm couleur – sonore – 12 minutes
L’Art se désintègre et devient molécules à la disposition de la Muse du cinéma.
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DICHTUNG UND WAHRHEIT
POETRY AND TRUTH
1996-2003 – 35mm couleur – silencieux – 13 minutes
Un chasseur-cueilleur trouve un film publicitaire et le traite avec le recul d’un archéologue. Que sont ces images ? Un ready-made inuit ?
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DEUXIÈME PARTIE : MONUMENT FILM - 26 minutes
1. ARNULF RAINER en solo sur l’écran de gauche.
2. ANTIPHON en solo sur l’écran de droite.
3. ARNULF RAINER sur l’écran de gauche et ANTIPHON sur l’écran de droite en simultané.
4. ARNULF RAINER et ANTIPHON superposés.
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ARNULF RAINER
1958-60 – 35mm N&B – sonore – 6 minutes 30 secondes
Arnulf Rainer (peintre autrichien) donne son nom à la pulsation du film métrique. L’obturateur du projecteur 35mm cligne des yeux.
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ANTIPHON
2012 – 35mm N&B – sonore – 6 minutes 24 secondes
L’alpha et l’omega du cinéma.
« Je voulais conclure l’œuvre de ma vie par un monument au cinéma qui se tienne à l’écart de la culture numérique. (…) Je ressentais un dégoût pour un monde recouvert de déchets d’images publicitaires, qui se produisent sur fond de musique de fond permanente. Je ne voulais plus rien ajouter à cette masse d’images et de sons. » P.K.
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